Mon travail sur la santé mentale et le bien‑être :

S’il est vrai que le travail de députée est très exigeant et qu’il nous entraîne souvent dans bien des directions, j’ai eu la chance de pouvoir me concentrer sur ce qui compte le plus pour les citoyens.nes de la circonscription. À cause de mon cheminement personnel et professionnel, je savais que les services de santé mentale étaient insuffisants dans la région du Grand Fredericton. C’est le principal problème dont les gens me parlaient quand j’ai fait du porte‑à‑porte au cours de la campagne électorale l’an dernier. Cette préoccupation a été soulevée à maintes reprises dans mes échanges avec les citoyens.nes de la circonscription.

Il faut accroître considérablement les services offerts en santé mentale : des premiers soins en santé mentale pour les personnes, les porte‑parole et les alliés, à l’accès plus rapide aux psychiatres et aux conseillers pour les personnes en situation de crise, en passant par une meilleure compréhension des effets des habitudes quotidiennes – comme le cycle de sommeil et l’alimentation – sur la santé mentale. Et bien sûr, nous avons besoin d’un revenu de base garanti afin d’offrir aux gens la sécurité dont ils et elles ont besoin en ces temps incertains. La situation deviendra de plus en plus urgente si l’on tient compte de la deuxième vague de la COVID‑19, de la réduction du nombre d’heures d’ensoleillement et de l’isolement qui accompagnent l’hiver et des effets à long terme de la pandémie de troubles de santé mentale qui est annoncée par les experts. En résumé, il s’agit de ma priorité absolue en ma qualité de députée de Fredericton, d’Oromocto et des environs.

Ce genre de travail exige la participation de tout le monde et c’est pourquoi j’ai accepté d’être coprésidente du caucus multipartite sur la santé mentale, qui réunit des députés.es des quatre coins du pays. Mes collègues et moi avons commencé par fixer trois objectifs :

  • Enrichir et maintenir le portail Espace mieux‑être Canada de manière à mieux servir les Canadiens.nes dans leur région et à rendre le portail plus convivial et accessible.
  • Convaincre le gouvernement d’injecter davantage de fonds directement dans les collectivités en offrant un financement direct aux fournisseurs de services.
  • Profiter de la Semaine de la santé mentale pour aller plus loin que simplement déstigmatiser la maladie mentale et poser des gestes concrets, établir un réseau d’entraide ainsi qu’accéder à des ressources pratiques. Jetez un coup d’œil à mes publications au sujet de la Semaine de la santé mentale.

Si vous avez des suggestions à propos de mon travail au sein de ce caucus, veuillez communiquer avec moi à l’adresse suivante : jenica.atwin@parl.gc.ca.