Monsieur le Président, nous savons que le renforcement du caractère bilingue du pays repose sur la vitalité des communautés où le français est en situation minoritaire.
Le français procure un avantage concurrentiel au Canada. La stratégie en matière d’immigration prévoit que 4,4 % d’immigrants francophones seront admis à l’extérieur du Québec comme résidents permanents d’ici 2023.
Est-ce que le ministre de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté peut indiquer si cette cible permet effectivement d’assurer la vitalité d’une langue officielle?
Est-ce qu’il a confiance que, malgré la pandémie, son gouvernement sera en mesure de l’atteindre?