Madame la Présidente, on a beaucoup parlé du fait que c’est la dernière option possible et la moins souhaitable. La ministre pourrait-elle nous dire ce qui fait que c’est toujours la dernière option qui s’offre pour ces travailleurs? Ils ne souhaitent pas faire la grève, mais c’est l’outil dont ils disposent pour défendre leurs droits et obtenir une certaine reconnaissance.
Il a été question de la participation de la ministre au mouvement syndical dans la région d’Hamilton. Pourrait-elle nous dire à quel point il est important de maintenir le droit de grève pour les travailleurs canadiens, les conséquences que cela a, et en quoi il s’agit absolument du dernier recours pour eux également?